L’électroscope, une chronique quotidienne qui vous propose des invitations culturelles à découvrir en ligne et au possible, gratuitement. Vous y trouverez des beaux arts, du spectacle vivant et même des formations sur des thèmes bien différents. Chaque jour retrouvez toutes les informations et liens concernant la chronique sur le site. Bonne découverte….
Découvrons l’art sous toutes ses formes… Exposition de peinture, scuplture, photographie, graphisme, écriture…
Découvrons ou re-découvrons des performances artistiques en tout genre…. Pièce de théâtre, dj SET, spectacle de danse, concert…
Pour apprendre toujours un peu plus chaque jour, appréhendons de nouveaux la formation… Des formations sur l’environnement, sur le développement personnel mais aussi, sur la pratique artistique….
La maison de Victor Hugo est un musée monographique parisien, situé au 6 place des Vosges, dans le 4e arrondissement, qui préserve l’ancien hôtel de Rohan-Guémené où Victor Hugo loua l’appartement au deuxième étage pendant seize ans, de 1832 à 1848.
Il s’agit d’un des 14 musées de la Ville de Paris gérés depuis le 1er janvier 2013 par l’établissement public administratif Paris Musées.
C’est en 1832 que Victor Hugo quitte avec sa famille la rue Jean-Goujon pour un appartement de 280 m2 situé au deuxième étage de l’hôtel de Rohan-Guémené – ou hôtel de Lavardin – qu’il loue à sa propriétaire Mme Péan de Saint-Gilles par l’intermédiaire du gendre de cette dernière, le notaire Bellanger. Il y connaîtra seize années de vie mondaine, politique et familiale. Durant son séjour en ces lieux, il reçoit ses amis Lamartine, Alfred de Vigny, Alexandre Dumas, Honoré de Balzac, Prosper Mérimée ou encore Sainte-Beuve, et y vit le mariage de sa fille Léopoldine puis le drame de Villequier en 1843.
Dans le cabinet de travail, il écrit plusieurs de ses œuvres majeures : Lucrèce Borgia, Les Burgraves, Ruy Blas, Marie Tudor, Les Chants du crépuscule, Les Voix intérieures, Les Rayons et les Ombres, une grande partie des Misérables, le début de La Légende des siècles et des Contemplations. Durant son séjour, il est élu à l’Académie française, nommé Pair de France, puis député de Paris1.